Théa et Léo s’intéressent aux conditions de la mise en œuvre du digital learning sur le terrain. Ils découvrent une très grande variété de pratiques et de postures des managers :
Le manager qui ne se sent pas concerné : «vois avec ton formateur».
Le manager qui donne carte blanche: «prends le temps qu’il te faut».
Bref, des managers qui ne comprennent pas vraiment leur rôle, leurs marges de manœuvre, leur posture dans cette transformation. Voire qui ne voient même pas l’intérêt ! 

Confronter leurs points de vue permet à Théa et Léo de mieux appréhender ce que la transformation digital learning implique pour eux et leurs équipes. L’intérêt qu’ils y voient, les opportunités, les difficultés rencontrées, les réussites… Ils se rendent compte qu’avec la multiplication des sollicitations, la transformation s’avère plus complexe qu’ils ne l’avaient imaginé : elle devient nécessairement contextualisée, en fonction des activités, de la culture, des organisations, des individus, des technologies, des sites…

Ils réalisent que leur rôle de manager devient clé dans la réussite du déploiement du digital learning au cœur des métiers. Mais ils ne mesurent pas tous l’enjeu, ni l’ampleur. Ils ne savent pas comment s’y prendre. Il devenait donc primordial pour Théa et Léo de trouver le dispositif qui leur permettrait de les y accompagner.